mardi 27 janvier 2009

POWDER SNOW - Ayumi Hamasaki

Une chanson qui correspond bien à mon état actuel.

POWDER SNOW
Je veux qu'on me laisse tranquille
Je veux m'enfuir dans un endroit
où personne ne me connaît

Que j'ai tort, que je suis coupable ...
voilà ce qu'il me reste
Je n'ai pas besoin d'un lendemain

[Refrain :]
Puis-je pleurer comme je le veux ?
Jusqu'à ce que larmes ne s'évaporent
La neige blanche virevolte
et enveloppe mes pleurs
Je t'en prie, aide moi

[Couplet :]
Je n'ai pas le moindre regret
J'ai toujours vécu dans le présent
A tel point que je ne laisse
aucune trace de pas derrière moi
La bougie fond et la lumière s'éteint

[Refrain :]
Puis-je crier de toutes mes forces ?
Jusqu'à ce que ma voix ne se brise
La neige blanche lavera mes fautes
S'il te plait

[Pont :]
J'ouvre mes bras en grand, je veux juste recueillir
ces flocons d'argent
Mais pourquoi ?
C'est tellement éphémère ...

[Refrain :]
Puis-je pleurer comme je le veux ?
Jusqu'à ce que larmes ne s'évaporent
La neige blanche virevolte
et enveloppe mes pleurs

Puis-je crier de toutes mes forces ?
Jusqu'à ce que ma voix ne se brise
La neige blanche lavera mes fautes

Puis-je pleurer comme je le veux ?
Jusqu'à ce que mes larmes ne s'évaporent
Puis-je crier de toutes mes forces ?
Jusqu'à ce que ma voix ne se brise

Puis-je pleurer autant que je le veux ?
Puis-je crier de toutes mes forces ?
Jusqu'à ce que la neige arrête de tomber


lundi 26 janvier 2009

Quand Najoua Belyzel est "La Bienvenue".

Samedi après-midi, Najoua Belyzel nous a fait un très beau cadeau sur son blog officiel : la promo de son nouveau single La Bienvenue commençant cette semaine, elle nous a offert en avant première son clip.
Un très joli clip, une très belle histoire, tout Au Féminin.

samedi 10 janvier 2009

Twilight – Chapitre 1 – fascination (le film)

“– Et le lion s’éprit de l’agneau… murmura-t-il.

Exaltée, je détournai la tête, et dissimulai mes yeux.

– Quel imbécile, cet agneau ! soupirai-je.

– Quel fou, ce lion… Quel masochiste…”

 

  • Résumé :

(voir plus bas, billet concernant le roman).

  • Mon avis :

Je dois avouer quelque chose : mon obstination à lire le roman de Stephenie Meyer, fascination, le premier tome de la série Twilight, n’avait pour but que de porter un regard critique sur le long métrage réalisé par Catherine Hardwicke.

Tout d’abord, mettons les choses au clair : un film adapté d’un roman ne correspondra jamais à cent pour cent à ce dernier ; la transposition du texte à l’image subit toujours de larges modifications, tant au niveau du scénario, qu’au niveau des dialogues. De ce fait, le résultat, empreint de la subjectivité (souvent hollywoodienne) du réalisateur, est en général plutôt loin de l’idée que l’on s’était fixée en lisant le roman.

Twilight ne déroge pas à la règle : la réalisatrice a pris quelques libertés quant au déroulement de l’intrigue, qui, parfois, semble traîner en longueur. Rien de bien méchant cependant, car, finalement, les deux heures du film se laissent regarder avec un plaisir constant. Il est appréciable, par exemple, de voir les acteurs principaux adopter un jeu à la Shakespeare, quelque peu semblable à celui réalisé dans Roméo + Juliette de Baz Luhrmann. Un peu de poésie dans un monde toujours secoué par de l’action incessante, un peu de simplicité dans un cinéma dominé par les effets spéciaux qui en mettent plein la vue. La relation amoureuse qui se créé entre les deux personnages est traitée de manière tout à fait juste, sans jamais pousser le vice jusqu’à des niaiseries qui auraient pu devenir très vite insupportables.

Pas de scènes déplacées, donc, ni sexe, ni sous-entendus ; juste de l’Amour, pur et simple, profond, qui naît entre deux espèces incompatibles.

Néanmoins, un petit point négatif : là où Catherine Hardwicke a eu un peu de mal, c’est sans nul doute au sujet des pensées de l’héroïne. Dans le roman, comme je le disais plus bas, l’auteur utilise un narrateur-personnage, qui parle à la première personne. Bella, donc, nous raconte ses pensées les plus intimes, chaque situation donnant irrévocablement suite à une analyse de sa part, nous en apprenant ainsi un peu plus sur elle-même : Bella se confie à nous, comme si nous étions une partie d’elle. Malheureusement, sûrement à cause de la transposition à l’image, tout ce côté est complètement délaissé, et, par là même, le film nous abandonne parfois dans une certaine incompréhension, puisqu’on ne peut finalement pas retranscrire chacune de nos pensées par des gestes. Ainsi, les situations, ironiques ou comiques dans le roman, passent inaperçues à l’écran, devant ridicules et inutiles, et c’est bien dommage.

Malgré tout, Twilight est un film qui se laisse regarder sans déplaisir, et nous invite très fortement à désirer la suite, Tentation.

Sur ce, lisez les romans, comme après chaque adaptation. Ce sera très instructif, et divertissant.

Note : 15/20

A bientôt !